On pourrait qualifier cette situation actuelle de modèle comportemental, fréquemment désigné sous le terme « École Reddi ». « Pour un petit garçon sur le point d'entrer en maternelle, c'est : « Je ne veux pas aller à l'école ! » Il ne s'agit pas d'une seule cause, mais généralement d'un mélange de facteurs émotionnels, sociaux et environnementaux. Ce n'est pas un gaspillage, mais pourrait indiquer une tension émotionnelle ou développementale avec laquelle l'enfant a des difficultés à gérer.
Voici les causes majeures du refus scolaire au niveau de la maternelle :
1. Causes émotionnelles et développementales
La maternelle est le moment où l'enfant se sépare de ses parents pour la première fois, marquant un pas vers son autonomie. Cela peut engendrer une anxiété considérable.
- Anxiété de séparation (cause privilégiée) : C'est la raison la plus courante, particulièrement chez les enfants qui entrent tout juste en maternelle. L'enfant ne peut pas supporter d'être éloigné de ses parents, c'est-à-dire de son environnement sécurisé. Elle peut craindre que quelque chose de mal lui arrive ou leur arrive lorsqu'elle est loin de ses parents.
- Crainte face au nouvel environnement et anxiété générale : Un cadre peu familier, des règles inexplorées, des visages nouveaux peuvent engendrer une anxiété et une terreur démesurée chez l'enfant. L'appréhension face aux foules, l'attention ou les erreurs commises en cours peuvent aussi être des éléments déclencheurs.
- Envie de demeurer à domicile/zone de dépendance : Dans certaines situations, l'enfant choisit de rester chez lui plutôt que d'aller à l'école, car la maison est un environnement sécurisé et agréable. Il arrive que, face à une situation de crise à la maison (maladie, arrivée d'un nouveau frère ou sœur, décès des parents, séparation), l'enfant puisse refuser de rentrer chez lui pour accompagner son parent ou par crainte de perdre son intérêt.
2. Facteurs sociaux et environnementaux (Se renforcent dans un cadre scolaire)
Le comportement de rejet d'un enfant peut être directement influencé par son expérience dans le milieu scolaire.
- Harcèlement ou ostracisme par les pairs : Des expériences sociales défavorables, comme le fait d'être moqué, mis à l'écart, menacé ou de ne pas participer aux jeux, peuvent diminuer de manière significative l'envie d'un enfant d'aller à l'école.
- Relation avec l’enseignant : Les comportements inflexibles, obscurs ou hostiles de l'enseignant qui nuisent à l'équilibre de l'enfant peuvent générer de la crainte et de la réticence chez ce dernier. Toutefois, durant les premiers jours, l'enfant requiert une confiance profonde et une démarche soigneuse de la part de l'éducateur.
- Introversion et anxiété sociale : L'inclination naturelle de l'enfant à l'introversion, sa difficulté à se lier d'amitié ou son incapacité à s'exprimer au sein du collectif peuvent aussi engendrer une appréhension liée à l'école.
3. Dynamiques familiales
Le comportement de refus scolaire peut être influencé de manière indirecte par les attitudes et les évolutions des parents au sein du foyer.
- Anxiété parentale : Si la mère ou le père a une anxiété intense en quittant leur enfant, l’enfant ressent cette anxiété et son adaptation devient difficile. Parfois, l'affection excessive des parents et la dynamique de dépendance mutuelle conduisent l'enfant à ne pas vouloir s'éloigner.
- Incohérence : Si les parents présentent l'école comme une alternative ou montrent des comportements contradictoires à ce sujet, cela pourrait inciter l'enfant à opter pour la maison.
- Transformations significatives dans la résidence : Des événements significatifs, tels que l'arrivée d'un nouvel enfant dans la famille, un déménagement, une maladie familiale ou un décès, peuvent inciter l'enfant à chercher davantage de confiance et de proximité.
Quoi faire?
Bu durumda yapılması gereken en önemli şey, çocuğunuzun duygularını küçümsemeden ve alay etmeden onu dinlemek ve okula gitmek istememesinin ardındaki gerçek nedeni bulmaya çalışmaktır.
Si cette résistance dure longtemps, les plaintes physiques (douleurs abdominales, nausées) sont perdues à l’extérieur de la maison, ou si la conformité n’est pas atteinte malgré la coopération famille-école, il est important de demander un soutien professionnel auprès d’un psychologue pour enfants ou d’un conseiller psychologique.

